a l'international

Le 5 juillet dernier, l'association Femmes  de Justice, représentée par sa présidente Sonya Djemni-Wagner et sa vice-présidente Nathalie Ancel, ont accueilli Maria Eugenia Chapero, présidente de l'association des femmes juges d'Argentine. Lors de cette rencontre, elles ont discuté de l'égalité professionnelle, de la parité et de l'accès des femmes à la Cour suprême d'Argentine. Cette initiative a été soutenue par le Réseau des femmes, une association féministe internationale. 

En outre, Femmes  de Justice a également rencontré Angela Bisig, juge à la Cour suprême du Kentucky, pour échanger sur les défis politiques et judiciaires auxquels les femmes sont confrontées..

L'association Femmes de Justice a été invitée par le Réseau Européen de Formation Judiciaire (REFJ) pour discuter de la formation des femmes dans le domaine judiciaire. Lors de cette rencontre, les outils de formation offerts par le REFJ, tels que les stages, séminaires, et cours en ligne, ont été présentés. Femmes de Justice vise à permettre à ses membres d'accéder à ces ressources pour promouvoir la parité et l'égalité dans le secteur judiciaire européen.

À la suite du retour des talibans en Afghanistan en août 2021, Femmes de Justice a réagi face à la menace qui pesait sur les juges afghanes, dont deux membres de la Cour suprême avaient été assassinées. Sous l'impulsion de l'ancienne présidente Ombeline Mahuzier, l'association a sollicité le président de la République pour faciliter l'accueil de ces femmes en France. De plus, des adhérentes se sont proposées comme marraines, et une campagne de sensibilisation a été lancée pour soutenir ces juges. En parallèle, Femmes de Justice collabore avec 2GAP pour coordonner les actions en faveur de ces femmes à l’échelle internationale.