La présidente de l’association Administration moderne, Nathalie Pilhes, qui anime aussi la branche nationale du collectif Gender and Gouvernance Action Platform (2GAP) appelle à des changements radicaux dans le fonctionnement de l’État, appuyés notamment sur un lien repensé entre politique et administration. “Nous ne relèverons pas le défi mondial actuel sans la participation des femmes aux prises de décisions”, souligne-t-elle.

Femmes de Justice s'engage pour des changements concrets.

Retrouverez l'intervention de notre présidente, Ombeline Mahuzier, exposant le travail encore nécessaire à fournir avant d'obtenir une égalité réelle entre les femmes et les hommes au sein du ministère de la Justice.

Pour que la future loi visant à accélérer l'égalité professionnelle entre femmes et hommes s'applique au secteur public, 61 réseaux féministes ont pris la parole.

Par cette tribune, le collectif 2GAP dont Femmes de justice est fondatrice et membre, souligne la mise à l'écart du secteur public dans la proposition de loi pour l'égalité économique et professionnelle. L'obtention d'une situation égale entre les femmes et les hommes ne peut se faire qu'en impliquant toutes les sphères d'activités.

La présidente de l’association Administration moderne, Nathalie Pilhes, qui anime aussi la branche nationale du collectif Gender and Gouvernance Action Platform (2GAP) appelle à des changements radicaux dans le fonctionnement de l’État, appuyés notamment sur un lien repensé entre politique et administration. “Nous ne relèverons pas le défi mondial actuel sans la participation des femmes aux prises de décisions”, souligne-t-elle.

Sarah JOUFFRE nous propose une analyse interdisciplinaire mêlant l’histoire, la sociologique et la science politique, nous permet d’aborder l’enjeu – non pas nouveau mais bien contemporain – de la féminisation de la langue ou, plus justement, du travail nécessaire pour s’écarter du biais masculin de celle-ci.

Mémoire de recherche de Gabrielle Terrenoire, étudiante à Sciences Po Lille.

Discours de Marie-Claude Calot prononcé à l'audience solennelle de rentrée du TGI de Versailles le 13 janvier 1997

Sarah JOUFFRE nous propose une analyse interdisciplinaire mêlant l’histoire, la sociologique et la science politique, nous permet d’aborder l’enjeu – non pas nouveau mais bien contemporain – de la féminisation de la langue ou, plus justement, du travail nécessaire pour s’écarter du biais masculin de celle-ci.